Bricolage spatial : comment ce jardinier amateur s’inspire de la NASA pour ses plantations ?

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Dans un petit village du sud de la France, un jardinier amateur passionné par l’espace a réussi à combiner ses deux centres d’intérêt. Grâce à des techniques inspirées par la NASA, il est aujourd’hui capable de faire pousser des plantes dans des conditions hors du commun, et cela, tout en respectant les principes du développement durable.

Lorsque les astronautes partent, ils peuvent mener des expériences et le développement des végétaux est souvent au coeur de celles-ci. Il n’est donc pas surprenant que ce soit une source d’inspiration.

Un jardinier vraiment pas comme les autres #

C’est lors d’un voyage aux États-Unis que ce jardinier, dont nous préserverons l’anonymat, est tombé sur un article expliquant comment la NASA cultivait des plantes dans l’espace. Fasciné par cette idée, il a décidé d’étudier plus en profondeur ces techniques et de les adapter à sa propre utilisation. Cela fait maintenant plusieurs années qu’il expérimente avec succès différentes méthodes de culture issues de cette approche.

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Son parcours

  • Passionné d’astronomie depuis son enfance
  • Formation en horticulture et paysagisme
  • Plusieurs voyages aux États-Unis pour observer et étudier les projets de la NASA
  • Des heures passées à éplucher articles scientifiques et publications spécialisées

jardin nasa culture

Des techniques qui sont venues de l’espace #

Le principal défi rencontré par la NASA lorsqu’il s’agit de faire pousser des plantes dans l’espace est le manque de gravité. Pour compenser cela, les chercheurs ont mis au point des techniques de culture hors-sol, utilisant différents substrats pour remplacer la terre et permettant de contrôler précisément l’apport en eau et en nutriments.

La culture hydroponique

L’une des méthodes les plus connues de la culture hors-sol est la culture hydroponique. Cette technique consiste à remplacer la terre par un substrat inerte tel que du sable, des billes d’argile ou encore de la mousse, dans lequel les racines des plantes sont immergées. Les nutriments nécessaires à leur croissance sont dissous dans l’eau et apportés directement aux racines.

Les cultures aéroponiques et aquaponiques

D’autres techniques issues de l’aérospatial se sont révélées particulièrement intéressantes pour ce jardinier amateur. Parmi elles, on trouve :

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  • La culture aéroponique, où les plantes sont cultivées sans substrat, leurs racines étant suspendues dans un espace clos et brumisées régulièrement avec une solution nutritive.
  • L’aquaponie, une méthode qui associe culture hors-sol et élevage de poissons : les déjections des poissons servent de nutriments pour les plantes, tandis que ces dernières purifient l’eau qui retourne ensuite à l’élevage.

Un jardin à la fois durable et écologique #

Au-delà de l’aspect innovant et fascinant des techniques spatiales, ce jardinier a également à cœur de respecter les principes du développement durable. Ses cultures sont ainsi basées sur :

  • La réduction de la consommation d’eau : en contrôlant précisément l’apport en eau et en nutriments, les techniques hors-sol permettent de limiter le gaspillage.
  • La restriction de l’utilisation de produits chimiques : en créant un écosystème équilibré, notamment grâce à l’aquaponie, il est possible de se passer de pesticides et d’engrais chimiques.
  • La valorisation des déchets organiques : en utilisant les déjections animales comme nutriments pour les plantes, on participe à la réduction des déchets.

Les différentes techniques mises en place par ce jardinier ont permis d’obtenir des résultats exceptionnels, tant en termes de croissance que de résistance aux maladies et aux ravageurs.

De plus, ces méthodes offrent également une plus grande flexibilité, permettant de cultiver des espèces qui ne seraient pas adaptées au sol et au climat locaux.

Est-ce vraiment un exemple à suivre ? #

Si ce jardinier amateur reste encore une exception dans le paysage horticole français, ses expérimentations prouvent toutefois que les techniques développées par la NASA peuvent être adaptées et mises en œuvre avec succès sur Terre.

Peut-être verra-t-on bientôt d’autres jardiniers amateurs suivre son exemple et adopter des méthodes de culture inspirées de l’espace ?

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